« Comme nous en sommes tous conscients, l'incidence du cancer a augmenté de façon dramatique dans la seconde moitié du 20* siècle. Maintenant nous en sommes là, en ce début du 21* siecle, quand un sur trois des habitants de la planète a reçu ou recevra un diagnostic de cancer. Il n'est donc pas étonnant qu'il y quelques décades, les homéopathes aient commencé à parler d'un 'miasme' du cancer ».
L'auteur de ces lignes est un australien, il s'appelle Peter Drew, un des trois grands homéopathes de notre temps qui ont pu
étudier sur des milliers de patients en quoi ceux-ci étaient déja prédisposés à souffrir de cette maladie. Les deux autres thérapeutes sont R.Sankaran et le Dr.D. Brodie. Leurs conclusions se ressemblent beaucoup.
Il existe en effet un certain nombre de paramètres prédisposant à cette maladie, les uns mentaux, les autres physiques. Parmi les premiers, on a constaté (dit Sankaran) que la pensée intime de l'individu est que l'on attend de lui une chose qu'il est incapable de fournir, et qu'il doit mener une lutte surhumaine pour survivre dans un monde devenu de plus en plus dur, compétitif, et oppressant. Il y aurait par conséquent, selon Peter Drew, un échec d'adaptation: l'organisme et l'esprit n'ont pas réussi à garder le contrôle d'eux-mêmes dans un environnement perçu comme dur et chaotique..
Le Dr.D.Brodie a également observé aux USA des milliers de cas de cancer pendant plus de 40 ans. Selon ses observations, la base mentale la plus fréquemment rencontrée chez le patient réside dans une profonde colère supprimée, un grand ressentiment, survenus généralement pendant l'enfance, sentiments qui ont été longtemps refoulés, puis interiorisés à une telle profondeur que la personne peut trés difficilement les faire venir a la surface.
Brodie a montré que certains traits de caractere étaient presque toujours présents chez ces personnes: c'est comme si elles se sentaient responsables, et obligées de faire quelque chose, face à des problèmes qui ne les concernaient pas directement. Elles ressentaient profondément le besoin de plaire aux autres et de les satisfaire. Elles avaient un grand besoin d'approbation, signe qu'elles étaient acceptées; elles étaient incapables de dire non aux demandes des autres, pour ne pas leur déplaire.
Il y a également des paramètres plus physiques, comme une hérédité cancéreuse ou tuberculeuse familiale. Il y a donc toute une "diathèse" qui ne changera pas, même si le patient a été opéré, irradié ou traité par la chimio: il faut par conséquent la traiter aussi pour résoudre vraiment le problème, ou le prévenir. C'est ce que nous proposent ces homeopathes et ils nous disent comment.



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